Tuesday, September 3, 2019

Mitchinamécus et Lièvre

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fête du travail 2019

Débit: Mitchinamécus = 42 (haut) ;  Lièvre en aval des fourches = 65 (moyen)

Parcours: 39km

Classe 1 (2,3 et 5) - 1ère moitié avec rapides ou eau-vive; 2ème sans rapides (courant + ou - fort)

Portage: chute Rascas et chute Mc Lean

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Après avoir campé près de Mont-Saint-Michel vendredi soir, on est monté près du barrage du réservoir Mitchinamécus. On a débuté notre descente quelques kilomètres après ce barrage (on voit le dernier gros rapide de cette section intense dans la photo ci-dessus). J'avais eu l'aide de M. Généreux pour remonter au put-in alors que j'avais laissé l'auto au km30 du chemin de Parent. C'est ce monsieur qui m'a expliqué que quand la Lièvre est haute en début d'été, le lacher d'eau est retardé sur la Mitchinamécus. 




Il y a un R1/2, un R3 (photo ci-dessus) et un assez long R2 facile mais qui pousse. Puis on arrive assez vite à un pont en dessous duquel il y a un beau train de vague. Puis on voit la rivière à la loutre sur la gauche avant d'arriver à la chute Rascas. Il faut aller dans le bras de rivière de droite pour portager. C'est très à pic pour rejoindre la rivière. Les chutes (dans les deux bras) valent le coup d'oeil.



Une section calme puis les rapides longs commencent. On y retrouvent les murets typiques qui canalisent encore la rivière comme au temps de la drave. A la fin de ces rapides, il est important d'avoir repérer le début du portage de la chute Mc Lean près des accueils de ZEC.



On a fait le portage par la rive droite (route) puis il y a un sentier en face de l'accueil. On remet à l'eau 150m après la chute Mc Lean.



Puis on a poursuivi sur une section de la Mitchinamécus qu'on ne connaissait pas. À 42m3/s, le courant reste fort et il y a même un dernier R1. Il n'y a pas de plage mais on a trouvé un beau petit site  rive droite (en face d'un petit affluent qui se trouve rive gauche).


 

On a fait la grasse matinée le lendemain et il faisait très beau quand on a quitté le site vers midi. La jonction avec la Lièvre est très belle.



Comme la première journée, on a fait plus de 15kms. Il y a encore un peu de courant dans la lièvre et le vent n'était pas trop fort alors les kms d'eau calme ont été parcourus sans trop d'effort. On a vu, à deux endroits, deux chutes utilisées il y a quelques décennies pour la drave.



Puis on s'est arrêté sur une belle petite plage à environ 7km de notre take-out. Après une belle nuit, le reveil fut plus matinal et on a terminé notre expé en milieu de journée assez tôt. Une dernière belle baignade avant un portage ardu puis retour vers Montréal.





 

Tuesday, August 6, 2019

Chochocouane - circuit linéaire #60

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fin juillet - début aout 2019

Débit: plutôt bas (CEHQ43030 à 12)

Parcours: 75 km

Classe planiol (2 et 3)

Portage: 1 minimum (déversoir). Sans doute au moins 3 de plus (passages plus dangereux).

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C'est Etienne qui a eu l'idée pour cette rivière qu'il avait déjà descendue en 2009. Etienne et Valérie, moi et Adrienne, Amélia et Jean-Michel puis François en kayak.

On a covoituré avec François avec un kayak d'expé et un canot Canyon sur le toit. Tous les 7 arrivés au domaine le samedi soir, on a campé sous une pluie battante qui a commencé par bonheur alors qu'on était déjà couché. 

Renaud, un employé de canot-camping Vérendrye, nous a amené à la mise à l'eau le dimanche matin. Il serait possible de faire sa propre navette mais c'est quand même long (environ 2h après avoir quitté la 117) et le dernier bout est plus cahoteux. Prêts à partir, on s'est rendus compte qu'il nous manquait deux pagaies. Mais grâce à la bonne habitude d'amener une pagaie de plus par canot, on en avait quand même chacun une pagaie de rivière dont une en bois. La huitième pagaie en surplus étant une pagaie de lac en bois elle aussi.

Renaud nous avait dit que le premier tiers serait gratte-cailloux du au manque de pluie. De plus, un nouveau déversoir (futur pont?) construit 9km après le départ au lac Cambrai retient apparemment d'avantage l'eau que par le passé. Après le lac suivi d'une section calme de la rivière, nous avons campé rive droite juste à côté du deversoir et d'un rapide en effet très encombré à sa suite. Le site était petit mais nos 6 tentes ont trouvé leurs places. Valérie nous a régalé avec un méga filet de saumon cuit sur la cocina. Jean-Michel était un peu incommodé du soleil et a vite disparu dans sa tente.

Le deuxième jour, nous avons portagé le canot de Amélia et JM à la gang car il s'agissait d'un R3 encombré présentant une ligne étroite près de la rive droite avec un courant fort. Les équipes plus expérimentées sont bien passées mais nous avons préféré ne pas prendre de chance. Un peu plus loin, en passant au-dessus d'une belle fosse, on voit un poisson sauter hors de l'eau. Ne faisant ni une ni deux, Francois sort sa canne et on entend un cri victorieux peu aprés. Il nous rejoint un peu plus bas avec un beau doré de 18po attaché à sa ligne! On l'a achevé puis attaché au canot de Etienne.

On continue et il se met à pleuvoir vraiment fort après le passage sous un pont (mise à l'eau?). On s'arrête au Point kilométrique Pk15 dans un camping assez grand, fonctionnel et plutôt agréable. Nous saluons un groupe de pêcheurs en canot qui passe devant notre site. Vers l'heure du souper, moi et François allons chercher le doré pour l'évider mais à notre grand dam, nous voyons qu'il n'est plus accroché à la chaine... Bien décus, nous nous consolons en pensant à la joie de la loutre ou du vison qui a clairement tirer le jackpot. Un longicorne nommé Johnny tient compagnie à Etienne. Adrienne et Francois se lieront aussi plus tard d'amitié avec ce type d'insecte qui semble aimer s'accrocher à nous.



Pour le troisième jour, voyant le beau temps le matin et sachant qu'il y avait un gros groupe devant nous, on décide d'avancer mais peu afin d'avoir une quasi journée de congé. On remonte donc notre camp un km plus loin dans un site très grand et une coche plus beau que l'autre. Moi et Adrienne allons explorer le lac Rocau en arrière. On y voit de belles plantes carnivores et une chaloupe. Adrienne goute de la racine de Nénuphar mais c'est très amer. Ca confirme que c'est juste de la bouffe de survie.

Pour le souper, on se gâte avec une pizza concoctée par Amélia et cuite dans un four d'aluminium au dessus du feu. Moi et Etienne allons chercher des bleuets dans une belle talle qu'il avait repéré plus tôt dans la journée. Alors que les engoulevents virevoltent en criant au-dessus de nos têtes, un autre rale rauqe se fait entendre à plusieurs reprises. On pense qu'il s'agit d'un orignal qui maraude dans les parages.

Deux rapides de classe 2/3 manoeuvriers débutent la journée et posent de petites difficultés à JM et Amélia mais leurs stratégies et capacités s'amélioreront par la suite et tout au long de l'expédition. Il faut dire aussi qu'ils avaient loué un présage sans cale-cuisses au domaine. Pause lunch au Pk54 puis arrêt à un site 2 places qui est finalement assez grand pour nous (plage + boisé + racine retirée par Etienne). On a fait 12km aujourd'hui et on a un R1/2 en face du site pour jouer un peu. Je trouve 2 petites chanterelles dans le sentier, elles sont bien rares comme les autres champignons suite au temps sec des semaines précédentes. Pendant la belle nuit étoilée, je remarque que la voie lactée apparait comme un réseau plus qu'un nuage.

On repart le lendemain matin avec deux autres rapides courts en matinée. Je brise la pagaie de bois qu' Etienne nous avait prété (elle m'avait semblé fragile la veille déjà...). Nous sommes alors moins bien lotis avec un nombre de pagaie égal au nombre de personnes incluant la pagaie de lac... J'explique à JM qu'on se partagera ma pagaie de rivière en remontant à pied. On fait une belle pause diner au site dit "de la bavette" (repas de Etienne 10 ans plus tôt en ces lieux). Etienne est heureux de reconnaitre enfin un lieu sur la Chochocouane car ce n'était pas le cas avant cela. Il y a la un R4 avec une grosse roche à cravate que seul Francois descend en kayak. Puis on continue jusqu'au Pk36 ou il y a un autre beau site. Les campings s'améliorent au fur et à mesure de notre progression. L'accès à l'eau reste ordinaire mais c'est le seul défaut. Les baignades sont tout de même bien sur fantastiques comme d'habitude en canot-camping. On n'a pas souffert excessivement de chaleur cependant pendant cette semaine mais il fallait tout de même bien se protéger du soleil. Je trouve quelques petits champignons homards et un bolet des épinettes en prenant une marche jusqu'au site suivant situé au niveau d'un affluent rive droite.

Après une autre belle nuit étoilée, on repart et en arrivant à la chute, on voit un groupe qui achève de quitter leur camp sur la rive droite. On portage les canots par la rive gauche alors que Francois étudie ses possibilités. Il finira par portager rive droite (plus court en s'approchant) car la cascade n'a pas assez d'eau en bas. Le groupe profite par contre d'un super jacuzzi naturel au même endroit. 

Au R4 suivant, on fait le premier palier (tous les canots) et on cordelle le deuxième palier car trop à pic et encombré. Puis on finit par rattraper le groupe devant nous qui est en fait une famille de 4 que Valérie connait. Il y a une belle section classe 1/2 à 2 assez longue pour une fois. On s'installe en bas dans le 1er grand site et la famille se met dans le plus petit site au niveau du pont détruit. C'était notre plus grosse journée avec 20km mais personne ne s'en plaint particulièrement.

Après une nuit nuageuse avec une pluis légère, le temps se dégage au petit matin. Le papa de la famille (Florent) va nous aider pour la navette donc on décide qu'on ne traversera pas le réservoir Dozois. Ce qui veut dire qu'on a 10km de moins à faire et qu'on peut donc garder notre rythme relax.

Au R4 du Pk13, Amélia et JM portagent le 1er passage puis passent avec succès le deuxième palier. C'est une belle réussite pour leur équipe! Les autres canots passent sans encombre mais se retrouvent en bas avec beaucoup d'eau. Heureusement que le rapide finit là. Plus tard durant la journée, on voit et entend des oiseaux que je n'avais jamais vu avant: des becs croisés des sapins. Belles têtes rouge!

Au take-out, nous arrivons juste après la famille de Florent et Catherine (Ils nous apprennent un peu plus tard qu'ils étaient les instigateurs d'un club de canot d'eau-vive à Québec il y a plus de dix ans: Les coureurs d'eau). On s'organise pour la navette et une partie du groupe décide de camper au petit site voisin alors qu'Amélia et JM décident de retourner à Montréal (traffic, location,...).


Les gars pêcheurs finissent eux-aussi leur périple un peu plus tard. Ils ont fait 100km et sont passé apparemment par les ruisseaux Canimiti et Denain. Ils se sont d'ailleurs un peu égaré dans les méandres de ce dernier. Par contre, la pêche a été bonne pour eux GBLF. Ce que l'on ne peut pas dire dans notre cas malgré des ultimes tentatives dans les dernières heures. On se console largement avec les quantités astronomiques d'amélanches et de bleuets.


Note: pour le circuit #64 de 32km, je pense qu'on peut s'organiser sa propre navette sans problème.

Friday, July 5, 2019

Basse Malbaie jusqu'à Clermont

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début juillet 2019

Débit: 40m3/s (CEHQ51502). Pas gratte-cailloux si on prête attention et plaisant dans les R3.

Parcours: 40 km

Classe 2(3)

Portage: 1 probable au S3/4

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Les fleurs étaient belles sur les abords de la Malbaie lors de cette fin de semaine de début d'été. Les lupins, quatre-temps et fleurs des champs ont égayé les magnifiques paysages. Une brise nous a tenu aussi compagnie ce qui était très bon pour limiter la quantité de maringouins et mouches noires à un niveau très tolérable. Il y avait quand même pas mal de moustiques qui nous observaient le matin entre les deux toiles de tentes; un feu était nécessaire pour les éloigner matin et soir.



On a pu rentré dans le parc le dimanche matin avant 8h (ils laissent la barrière ouverte avant l'ouverture) et aller décharger tout l'équipement près du barrage des érables. Ensuite, j'ai ramené l'auto a l'entrée du parc et j'ai payé nos droits pour la journée ($8.50). Deux groupes de canoteurs étaient là aussi (CPH et Rabaska) mais eux faisaient la section en un jour de moins que nous. 


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Vue d'ensemble de la section:

La section de 40km ne contient pas de planiol. On est toujours dans de l'eau-vive avec en majorité des R1 et des R2. Il y a aussi des R2/3 dans les premiers kms après le barrage dans le parc. Vers la fin du parcours, avant et un peu après le seuil, il y a plusieurs R2/3 et R3 dont certains assez longs. Le seuil est de classe 3/4 et devrait être repéré. Il y a deux passages (un de chaque coté de l'ile) avec de larges trous à éviter. Le portage est assez facile rive droite. 



Danger coté droit (et portage):



Danger côté gauche:


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La première nuit était au niveau du ruisseau du Foulon (après un beau rapide de chaque côté d'une ile suivi d'une courbe marqué à gauche). Ce n'était pas un des sites officiel de la ZEC des martres pour lequel on avait payé un frais de camping de $16.50 mais c'était très bien pour notre "mini groupe". Adrienne a préparé une soupe thai pour le souper.




 La deuxième nuit, après une journée de rapide plus mollo (R1 et R2) et juste après voir vu un beau pygargue mature, on a campé juste au début de la section de rapides plus difficiles. Et encore un autre super souper avec un Curry aux crevettes. Adrienne avait même amené une bière par soir! On est clairement de moins en moins minimalistes.


La troisième journée contenait vraiment le clou de la descente point de vue rapides avec des beaux classe 2 et 3 sur de longues portions continues. Arrivés au seuil (décrit plus haut) qui est juste après des lignes électriques, on peut facilement s'arrêter rive droite avant.



 

Et une magnifique falaise creusée par le rapide depuis des millénaires


 On est sorti au pont près du Salmonier et on a eu la chance de se faire aider pour la navette par une canoteuse (Micheline) qui était là par hasard.

 






Tuesday, May 21, 2019

Branches de la St-Régis

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mi mai 2019

Débit: 1300 cfs (2.4ft) sur la Middle et 700 cfs sur la West - débit minimum agréable pour les 2

Parcours: 22 + 14 km

Classe 1(2)

Portage: Au départ de la branche Ouest, 1 portage de 350m du stationnement à la mise à l'eau en bas de Allen Falls (dernier 30m très pentus)

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Pour cette longue fin de semaine, on s'est dirigé un peu au sud de Massena dans l'état de New York.  Plusieurs branches de la rivière Saint Régis coulent dans ce coin et on a découvert deux sections.

Après s'être rejoint à Winthrop ou se trouvait le take-out (au restaurant au bout de l'impasse Reservation), on est parti vers Nicholville pour mettre à l'eau. On a vu un couple amish dans leurs habits traditionnels en arrivant. Les accès à la rivière ont été faciles à trouver et on a pu accéder plus facilement par River St et ainsi éviter une descente à pic au niveau du pont.


La section sur la Middle branch commence par la fin d'une section appelée "le canyon" dans la description de la section amont. C'est du beau R2+ à ce débit. Puis ca se calme progressivement et c'est là que je me suis rendu compte que le pollen qui flottait en grande quantité dans l'air était en fait une multitude d'insectes éphémères. 

En arrivant au pont de Fort Jackson, ca reprend avec un beau R2/3. Ce rapide a de belles formations rocheuses rive gauche (attention au drossage à une place). Il y a un petit parc municipal rive gauche au niveau d'une vague à surf.



  
Le petit parc était très bien amménagé et aucune interdiction de camper n'était présente. Nous avons tout de même demandé à un résidant voisin qui nous a dit que ce n'était pas permis. Il nous a confirmé que nous n'aurions pas de difficulté à trouver un endroit ou camper quelques kilomètres en aval.

 
La rivière continue en classe 1+ de manière très continue. Après l'avoir vu de loin, an a revu un aigle pêcheur avec un mulot dans ses griffes. Il a poussé deux petits cris fiers en passant à côté de nous. Il y avait plusieurs chalets surtout rive droite et nous nous sommes finalement arrêtés rive gauche un peu avant la limite de la forêt d'état. Idéalement, on aurait continué un peu pour être dans cette zone non privée mais on ne savait pas qu'il y aurait des panneaux indicateurs. 

En mangeant nos délicieuses pâtes carbonara, on a entendu des tirs de mitraillette au loin... Pendant une dizaine de minutes, quelques séries espacées nous ont fait froid dans le dos. Mais ce ne fut que passager et la nuit fut belle et calme. J'imagine que notre voisin s'entrainait au tir... Au petit matin le chant d'un hibou suivi d'autres oiseaux ont créé une bien meilleure ambiance.

La deuxième journée sur la middle était plus tranquille côté rapide mais à un moment un chevreuil a plongé dans l'eau juste derrière mon kayak. Ca m'a sorti de ma rêverie on peut dire. Et en arrivant au take-out, j'ai trouvé une tique qui se promenait sur mon wetsuit. Pas cool...


Puis on s'est organisé pour aller camper à la mise à l'eau d'une autre section sur la branche Ouest de la St-Regis. Allen falls est un site magnifique et malgré quelques marcheurs, on a pu se trouver un très beau et tranquille site primitif à 300m des autos, juste au dessus des chutes. Adrienne a trouvé des chenilles noires de 3 pouces et Marjorie a trouvé une mini tique mal accrochée entre ses doigts...




Il y a eu un gros orage la nuit de dimanche à lundi mais ça a permis de maintenir le niveau d'eau (et même une petite remontée de 575cfs la veille à 650 pour notre descente). C'était une bonne chose car la centrale hydroéléctrique prive la rivière de la moitié de son débit pour les premiers deux petits kilomètres. Après l'avoir passé, on accrochait beaucoup moins les roches.



Les rapides sont continus pour la moitié de la section oscillant de la classe 1 à 2 par endroit. Après le pont de la 11B (environ au premier quart de la descente), il y a quelques petits rouleaux pour jouer.


Après une section calme et rendu aux trois quarts de la section, on a rencontré un obstacle de classe 3 formé par un ancien mur de retenue d'eau brisé. Tout le monde est bien passé dans le train de vague rive droite. Puis il y a deux autres petites cassures avant et après le prochain pont. On a pris notre diner ici.




Après un dernier bout de rivière tranquille ou on a admiré les fougères en tête de violon (trop avancées pour être récoltées) et d'autres plantes et fleurs, on est arrivé à notre sortie juste avant la route 11.



Chibougamau (anciemment Capacomou "celui qui vomit")

 ******** mi-aout 2023 Débit: bas ou moyen-bas (station 80718 stable entre 290 et 295) Parcours: du lac Opemisca à Waswanipi - 133km Classe:...